La résistance de la consommation s’explique par une baisse plus durable qu’attendu des prix à la consommation (-0,4% en septembre sur un an) et par les mesures gouvernementales de soutien aux ménages comme la prime à la casse, la prime de rentrée scolaire mais aussi la distribution de chèques emplois services et le non paiement de tiers provisionnels sur l’impôt.
Sans oublier le rachat de crédit qui permet de réduire l’endettement des ménages dans des proportions non négligeables et donc un retour à la consommation.
Malgré un marché de la restructuration en baisse (-40%) sur 1 an, ces opérations financières permettant de faire le rachat de ses crédits favorisent aussi un retour à la consommation de nombreux ménages.
De nouveaux acteurs / prêteurs sur le marché du rachat et une nouvelle concurrence entre eux sont en train de favoriser très légèrement, il y a des signes ! un assouplissement des critères d’acceptation.
Avec un chômage élevé, une inflation stabilisée et une politique publique nettement moins accommodante, rien ne dit que la consommation ne souffre pas en 2010″, dans ce cas le rachat de crédit saura séduire encore plus de nombreux emprunteurs.