Les réseaux sociaux (Facebook, Myspace…) ne servent pas qu’à envoyer des messages,  bien au contraire ! Comme 30 % des 350 millions d’utilisateurs de Facebook, découvrez le plaisir de jouer en ligne….gratuitement. Vous pouvez même inviter vos amis à venir partager ces moments ludiques avec vous, pour des instants 100% plaisir.

Il vous suffit simplement de vous laisser guider au fil des applications pour trouver chaussure à votre pied. Vous pouvez aussi taper un des mots phares des jeux que vous aimez (par exemple : blackjack en ligne,  échecs, tetris…) dans le moteur de recherche de votre réseau social pour accéder immédiatement à des dizaines de jeux. Parmi les plus populaires, il y a notamment les incontournables Farmville (vous construisez et développez votre ferme) et Mafia Wars (un jeu d’action et de stratégie).

Depuis peu, vous pouvez aussi franchir le seuil d’un casino sans depot pour retrouver, sans dépenser un centime, des jeux incontournables comme les machines à sous (« Slots Machines »), la roulette (« Roulette Madness »), le vidéo poker (« Game Desire Video Poker »)….

Avant de lancer le jeu de votre choix, n’hésitez pas à cliquer sur le petit onglet « avis » pour connaître l’opinion de joueurs du monde entier et voir si le jeu en vaut la chandelle ! En sélectionnant l’onglet « infos », vous pourrez aussi savoir qui, parmi vos amis, utilise déjà cette application.

2011 va d’ailleurs définitivement se placer sous le signe du jeu et du divertissement. Les meilleurs casinos en ligne (888 Holdings, All Slots Casino…), dont la fréquentation a progressé de 40 % en une seule année, devraient en effet développer des jeux spécifiques pour les réseaux sociaux.  Microsoft (surtout pour la Xbox) et Electronics Arts devraient également leur emboîter  le pas.

Mais que tous ceux qui aiment jouer hors réseaux sociaux se rassurent : ils peuvent suivre toute l’actualité de leurs jeux ou de leur poker room…sur Facebook. Il n’y a finalement rien d’étonnant, quand on sait que les ¾ des français surfent chaque jour sur le Web et que plus d’un tiers d’entre eux confesse être accro des réseaux virtuels.