La priorité lorsque l’on atteint la quarantaine est de mettre son entourage à l’abri de tout événement inattendu en faisant en sorte que ceux-ci aient les ressources suffisantes pour conserver leur pouvoir d’achat.
Après avoir fait les démarches nécessaires, vous pourrez songer à d’autres types d’épargne.
Penser à ses proches
Après quarante ans, il peut ainsi être intéressant de se renseigner sur les offres dites de prévoyance. Les contrats rentrant dans le champ de la prévoyance sont justement faits pour répondre à ces situations exceptionnelles. En cas d’invalidité par exemple, le versement de l’argent sera réalisé à destination de vos proches.
L’assurance vie peut aussi répondre à certains de ces besoins grâce à la clause bénéficiaire qui vous permettra de réserver un certain montant à une personne choisie (cliquer ici pour obtenir des informations sur l’assurance vie)
Comment étendre ses placements
40 ans est la période rêvée pour voir plus loin pour ses placements puisqu’à cet âge, on a vraisemblablement revenu plus important qu’à 20 ou 30 ans. Cependant, n’oubliez pas qu’un événement inattendu peut arriver à tout moment. C’est pourquoi, soyez certain de disposer d’un capital de réserve avant d’investir ailleurs.
Si vous n’avez toujours pas de bien immobilier, il peut être utile d’envisager cette acquisition. Vous profiterez en effet probablement d’un apport non négligeable qui vous permettra d’avoir une durée de remboursement de votre prêt plus courte.
Dans la mesure où vous êtes dans une situation plutôt confortable et qu’aucune urgence en termes d’argent ne se dessine à l’horizon, il peut être intéressant de considérer l’investissement en bourse (cliquer ici pour obtenir des informations sur les placements en bourse). Les OPCVM de l’assurance vie ou bien le PEA sont des pistes intéressantes.
Investissements et imposition
Il existe des placements plus intéressants fiscalement que d’autres. Si la fiscalité ne doit pas être le critère prédominant au moment de la décision, il peut être intéressant de se renseigner sur les investissements relatifs aux sociétés non cotées mais aussi les Fonds Communs de Placement dans l’Innovation ou FIP.