Vous avez une société et n’avez pas la possibilité de mettre en place une cantine d’entreprise ? Les chèques déjeuner répondent à cette nécessité en payant aux salariés des titres leur permettant de manger dans les boulangeries entre autre. Ils sont un élément de motivation pour le salarié et sont intéressants en termes de fiscalité pour l’entreprise.
Chaque patron doit permettre à ses employés de manger le midi simplement d’après le code du travail. Si celui-ci ne peut pas instaurer une cantine, il peut toujours se diriger vers le titre-restaurant.
Le salarié aura droit à des titres suivant le volume de journées passées dans l’entreprise. Il acquittera une partie du montant à l’unité et le patron se chargera du reste dans une proportion équivalente ou supérieure.
Il revient au patron de choisir le montant qu’il désire voir figurer sur chaque ticket restaurant. Ce montant n’est pas conditionné par la justice. Par la suite, il sera entre autre dégrevé au maximum de 5,29 euros par titre s’il s’en réfère à la loi de finances de 2013.
L’employé peut utiliser ses tickets de différentes manières. La première consiste à aller dans une structure lui permettant de déjeuner et acceptant les titres comme méthode de paiement. La seconde alternative réside dans les supermarchés qui acceptent les tickets restaurants uniquement pour les aliments immédiatement consommables comme les plats préparés ou les légumes de première fraîcheur.
Les tickets pourront dans tous les cas être donnés dans la limite de 2 par individu et aucune monnaie ne pourra être redonnée si trop d’argent a été confié au marchand.
Les titres doivent être donnés durant une période spécifique soit jusqu’à la fin de l’année. Arrivé à cette date, l’échange ne sera possible que sous huit semaines.
Lorsque l’on est employeur, il est important de protéger ce qui permet de faire fonctionner la société. Une assurance entreprise sera là pour mettre à l’abri les salariés mais aussi les machines face aux hasards de la vie quotidienne. Réfléchissez-y.